Santa Brigida

https://it.wikipedia.org/wiki/Chiesa_di_Santa_Brigida_(Roma) (mieux)

https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Santa_Brigida_(Rome)

https://it.wikipedia.org/wiki/Chiesa_di_Santa_Brigida_(Roma)

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(peu de photos : en prendre)

Piazza Farnese.

Église de la Suède.

1373 : mort de Brigida (Birdgitta Birgersdotter) qui habitait ici avec sa fille, santa Caterina. La maison fut donnée par Francesca Papazzurri (qui avait rencontré Bridget lors du Jubilée de 1350 à Assise) au monastère suédois de Vadstena, premier siège de l’ordre des Brigidini.

1391 : proclamée sainte par Boniface IX.

1626-41 : première église construite par Francesco Peparelli.

1704-5 : restauration de la façade et reconstruction de la voûte par Pietro Giacomo Patriarca, collaborateur de Carlo Fontana, pour Clément XI Albani (à qui l’église était confiée quand il était cardinal).

Couleurs originales : bleu et blanche (très communes au XVIIIe).

1780 : restauration par Pie VI Braschi (qui a un ancêtre suédois)

1894 : restauration par Raffaele Ingami qui dessine aussi le campanile.

Façade (1704-5, par Pietro Giacomo Patriarca)

Andrea Fucigna, Brigida (gauche), Catherine (droite) (1705)

Contre-façade

Eugenio Cisterna, Anges (1894) peints sur la chair en bois.

Voûte

Biagio Puccini, Gloire de Brigida et Evangélistes (1709-11)

« Les tableaux ont été exécutés selon une technique spéciale sur enduit sec, semblable à la tempera, qui permettait à Puccini d’obtenir des nuances douces de jaune et de blanc et, par conséquent, des effets de lumière très réussis. La représentation est entourée d’emblèmes tirés de l’Iconologia de Cesare Ripa, un manuel de symboles bien connu des artistes du XVIIe siècle : on y trouve différentes figures allégoriques qui soulignent la lutte acharnée de Brigitte contre l’hérésie et son ascension au ciel. » (Sofia Barchiesi)

Nef

Biagio Puccini, 6 Histoires de Brigida : « Vierge et Brigida » & « Vierge couronne Brigida » (droite) ; « Communion mystique de Brigida » & « Christ et Brigida » (gauche) ; « Brigida en extase » & « le Christ apparaît à Brigida » (presbytère)

Autel de droite

Copie d’un original perdu d’Annibale Carrache, Vierge et enfant (1694)

Pietro Camporese l’Ancien (dessin) et Tommaso Righi (sculpteur), Monument funéraire de Nils Bielke (1768) (droit)

Maître autel (1894)

Anonyme tyrolien moderne, Crucifix en bois

Marbre polychrome.

Anonymes, vitraux avec Sacré-Cœur

Anonyme, saint suaire

Autel de gauche

Eugenio Cisterna, diptyque Brigida et sa fille Catherine de Suède (1894)

Chambres de Brigida

Vitraux par la campagnie Zettler

Domenico Guidi, relief de la Face de Brigida (1664)

Oratoire de Brigida

Edoardo Brandon, Histoires de Brigida (1856-63), tempera sur mur.

Oratoire de Catherine

Attilio Palombi, Translation du corps de Brigida de Rome à Vastena (1894) ; Catherine arrête l’inondation du Tibre (1895).