Sant’Ambrogio della Massima (Rome)

https://it.wikipedia.org/wiki/Chiesa_di_Sant%27Ambrogio_della_Massima

https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89glise_Sant%27Ambrogio_della_Massima (mieux)

http://romapedia.blogspot.com/2018/03/st-ambrose-della-massima.html

https://commons.wikimedia.org/wiki/Category:Sant%27Ambrogio_della_Massima_(Rome)

(Ghetto)

Fondé sur la maison du père de saint Ambroise (334-397). Zone occupée par le temple d’Hercule Musagète.

XIII : on rajoute « della massima » (nom du propriétaire du IX?)

XV : appelé S. Stefano de Maxima et S. Maria in Formosa.

1606-26 : rénové par Carlo Maderno pour la famille De Torres.

1633 : complétée (coupole) par Orazio Torriani.

1863 : restauration. Façade refaite.

1861 : habitée par les moines de Subiaco.

1D

Anonyme XIX, Marcellina, Ambroise, Satyre (remplace le Martyre de st Etienne, volé en 1810).

2D

Orfeo Boselli, Sainte Bénédicte, dans le style de François Duquesnoy

Transept droit

Copie de Francesco Trevisiani (à st Sylvestre in Capite), Crucifixion.

Maître-autel

Tableau de 1974, à l’occasion de la venue de Paul VI.

Coupole

Francesco Cozza (élève du Dominiquin), pendentifs avec les vertus cardinales (1633)

« Il s’agit en réalité du triomphe des vertus cardinales sur les personnifications des vices qui leur sont opposés, comme le décrit Cesare Ripa dans son Iconologie. (…) Inspiré par des représentations similaires du Dominiquin dans S. Carlo ai Catinari, Francesco Cozza est montré ici fermement enraciné dans sa formation auprès de la première génération de classicistes bolonais » (Francesca Cappelletti)

Transept gauche

Ciro Ferri, San Mauro guarisce un paralitico

2G

Cavalier d’Arpin, Fresques de la vie de Marie

icône médiévale découverte en 1846, lourdement restaurée

1G

Anonyme XIX, Joseph, Ambroise, Marcellina

Réfectoire

Antoniazzo Romano, Déposition avec les sœurs Bénédictine (c.1497), fresque détachée en 1862 et transférée sur toile en 1963.

« La scène suit l’iconographie de la Vesperbild nordique (image des vêpres), un sujet de piété populaire dérivé de l’Europe du Nord et commun dans la région de l’Ombrie, mais très inhabituel à Rome. Vers la fin du XVe siècle, Michel-Ange sera celui (…) qui donnera la renommée et la noblesse à ce sujet populaire nordique. Dans la peinture romaine, le thème de la Pietà s’insère dans un système figuratif plus complexe avec la présence en arrière-plan des symboles des ‘Arma Christi’ (Armes du Christ), selon une association assez courante à partir de la seconde moitié du XIVe siècle pour inciter les fidèles à la méditation, en suscitant un engagement émotionnel » (Anna Cavallaro)

Baccio Ciarpi, Mort de Bénédicte (1609). « À Rome, il eut comme élève Pierre de Cortone. Ses œuvres présentent un langage narratif conventionnel dans un ton réformé, enrichi d’une luminosité influencée par Caravage » (Enciclopedia Treccani)

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